16 janvier 2023
Pour la première fois, le parc des Avenières a ouvert ses portes au grand public à Noël.
Walibi Rhône-Alpes termine 2022 sur un bilan exceptionnel ! Pour la première fois depuis son ouverture, le parc isérois a franchi la barre des 600 000 visiteurs. Des chiffres aidées par l’ouverture au grand public pour la première fois pendant les deux semaines de vacances du mois de décembre. Plus de 27 000 visiteurs se sont rendus au parc pendant les fêtes. Walibi Rhône-Alpes a déjà prévu de rouvrir son parc pour les fêtes de fin d’année en 2023.
Au total, le parc d’attractions a accueilli 610 000 visiteurs en 2022, dont 75% étaient des familles avec enfants. Par ailleurs, plus d’un visiteur sur trois a découvert le parc pour la première fois lors de sa visite en 2022. « Nous avons une stratégie ambitieuse d’investissement qui est enclenchée depuis 2016, avec un gros plan de transformation du parc avec trois univers créatifs, 33 attractions et spectacles et des nouveautés régulières. On voit que cela fonctionne. On a de plus en plus de visiteurs et des visiteurs de plus en plus fidèles », explique Thomas Mondon, directeur marketing du parc.
La prochaine saison se prépare déjà
Walibi Rhône-Alpes propose, sur tout le mois de février, des sessions collectives de recrutement pour constituer les équipes qui accueilleront les visiteurs, dès la réouverture le 5 avril. 400 postes saisonniers dans une multitude de métiers sont à pourvoir pour venir en renfort des 45 salariés permanents du parc : métiers techniques, vendeurs boutique, hôtes d’accueil, opérateurs d’attractions, secouristes, employés polyvalents de restauration, agents de propreté, etc. « Il est important de préciser que les qualités principales attendues sont plus relationnelles et dans le sens du contact avec le client, l’enthousiasme, que dans la pure formation technique. Elle sera délivrée avant l’ouverture du parc », ajoute le responsable.
Les candidats prêts à tenter l’aventure et rejoindre les équipes de Walibi Rhône-Alpes sont invités à postuler via le site internet.
Par Thomas Bantchik